The last years haven’t been stable for most Bitcoin miners worldwide. Since its beginning, Bitcoin (BTC) found an epicenter in China, and the miners weren’t an exception to this. However, the government in the Asiatic giant didn’t let the cryptocurrencies thrive on their territory. They made everything possible to exile these decentralized assets from their country.
Pour 2020, selon le Carte minière Bitcoin par Cambridge, la Chine représentait 65% du total du hashrate BTC (puissance minière). C'était probablement à cause de la grande quantité d'énergie (nécessaire pour crypto-minage) disponible à bas prix. De même, la vitesse d'Internet est supérieure à 172 Mo/s et les mineurs peuvent profiter d'hivers froids pour refroidir les machines. Cependant, la réglementation n'a jamais été compatible avec la cryptographie.
Par Septembre 2021, La Chine a finalement décidé d'interdire totalement les crypto-monnaies et toutes leurs activités connexes —including, of course, Bitcoin mining. A massive exodus of miners followed. They chose several pays comme destin, certains d'entre eux très proches de la Chine, et d'autres très éloignés.
According to the same Bitcoin Mining Map, by July 2021, five countries shared the main portion of Bitcoin hashrate: Russia, United States, Malaysia, Iran, and Kazakhstan. So, are the Bitcoin miners still there in 2022?
Bitcoin miners in Asia and Russia —for now
Russia and Kazakhstan are very close to China, and both of them have favorable conditions for miners (i.e., great energy production, good Internet connection, and cold weather). The logical result is that they’re now Bitcoin mining epicenters, but not everything’s fine about it. None of these countries have shown a friendly attitude towards cryptocurrencies, despite they don’t really have a ban over them.
It’s something that’s été considéré par la Russie, cependant. Heureusement, l'idée ne s'est pas concrétisée, et maintenant il y a une facture liée à la cryptographie en attente d'approbation. Pour résumer : les paiements cryptographiques sont interdits, mais les citoyens peuvent toujours acheter, détenir et vendre des cryptos comme outil d'investissement après avoir été correctement identifiés par une banque nationale. The Bitcoin mining isn’t specified, but higher taxes are expected. Au moins, une interdiction totale semble hors de propos maintenant.
Les circonstances ne sont pas si encourageantes au Kazakhstan et en Iran. Bitcoin a commencé 2022 avec un crash dans son hashrate, et c'était principalement à cause du premier pays. L'agitation politique a poussé le gouvernement à couper l'électricité et Internet, nécessaires au travail des mineurs. Fin janvier, le Kazakhstan a déclaré une crise énergétique et temporairement couper le courant pour les mineurs de crypto.
Le pire, c'est que partir est aussi une option difficile, comme déclaré Alex Brammer, de la société minière Luxor Tech. D'autres pays, comme la Russie, le Canada ou les États-Unis, manquent actuellement d'installations adéquates pour davantage de mineurs. Donc, ils sont "coincés" pour l'instant. C'est probablement la même chose pour les mineurs iraniens.
Iran et Malaisie
En dépit fournir over 1,000 official licenses to Bitcoin miners, L'Iran interdit cette même activité à deux reprises en 2021. Alléguant également une crise énergétique en hiver, Bitcoin mining is now banned in the nation until March 2022. De plus, ils préparent de nouvelles lois pour la cryptographie, dans l'intention de bien le réglementer "dès que possible". Dans le meilleur des cas, ce pays s'est avéré très instable pour le minage de crypto.
Pour sa part, le gouvernement malaisien est devenu un expert dans la saisie de fermes minières non autorisées dans tout le pays. Selon le Bukit Aman Criminal Investigation Department (CID), plus de $13 millions de machines cryptographiques et minières ont été saisis in this country during 2021. They even used a steamroller to destroy 1,069 bitcoin mining rigs.
La réglementation actuelle n'est pas très favorable non plus. En Malaisie, les crypto-monnaies sont déclarés non-legal tender nor a payment instrument, and they’re mostly considered securities. The trading is legal, though. This, along with the abundance of energy, could make a great portion of Bitcoin miners ask for licenses and stay in the country —if the règlements ne te retourne pas contre eux.
Les États-Unis vers le futur
Nous pouvons dire que les États-Unis sont favorables à la cryptographie, mais incluent des réglementations appropriées pour chaque activité connexe. Jusqu'à présent, Arizona et la Californie have asked to make Bitcoin legal tender; while other jurisdictions, comme la Floride et le Texas, ont eu une abondance d'énergie et des réglementations favorables à la cryptographie depuis plusieurs années.
Cela ne veut pas dire que tout y est parfait. Pour l'instant, en effet, plusieurs entreprises et les fermes minières ont dû éteindre leurs opérations en raison de fortes tempêtes, car elles ne veulent pas affecter la communauté en prenant tout l'énergie en plein hiver. C'est quelque chose de temporaire, cependant. Ce qui pourrait vraiment les affecter à long terme, ce sont les réglementations à venir.
Le gouvernement américain vise une réglementation cryptographique plus stricte en 2022, à partir de février. En ce qui concerne l'extraction de crypto, ils planifient to make it greener. On the other hand, the taxes will depend on the state: for example, Kentucky has tax incentives for Bitcoin miners. So, despite the possible obstacles, the United States is now pris en considération the new “Bitcoin mining capital of the world”. That probably won’t change that much in the upcoming years.
Potentiel de l'Amérique latine
Nous devrions mentionner Le Salvador (Central America) as an attractive destiny for Bitcoin miners. This is the first country with Bitcoin as legal tender, and they also have abundant geothermal energy. Indeed, the government is using that energy to mine Bitcoin already.
Et ce n'est pas le seul pays de cette région avoir le potentiel for Bitcoin miners. Paraguay is about to approve a law to protect Bitcoin miners and let them use the clean energy they have. Costa Rica also offers clean, abundant, and cheap energy; and it’s welcoming the Bitcoin miners. Argentina has been another popular destiny, even if the energy costs soulevé récemment.
Pour sa part, malgré les troubles politiques et les coupures d'électricité, le Venezuela est toujours Le moins cher (and profitable) country for Bitcoin miners. The government probably knows this, because they vient d'appliquer un nouveau régime fiscal pour retirer 2-20% des transactions en crypto et devises étrangères.
"Autre" est une option populaire
We can’t really identify the origin of all Bitcoin miners. A great portion of them uses privacy tools (like VPNs) to avoid being exposed. The reasons for this are diverse: from not gouvernements favorables à la cryptographie to simple personal preferences. That’s probably why the first “location” (even above U.S. or Russia) in the cited Bitcoin Mining Map is “Other”. And that source isn’t alone. If we check the Répartition mondiale des nœuds Bitcoin, le pourcentage le plus élevé (+51%) se situe dans « Pays inconnu ».
Qu'est-ce que ça veut dire? Comme toujours, l'anonymat est quelque chose de précieux dans le monde de la crypto-monnaie. Satoshi Nakamoto himself never revealed his real identity, so, why all the Bitcoin miners should do it? Now, considering where the most of Bitcoin hashrate was until 2021, some of that “Other” percentage may be formed by Chinese miners as well.
Mais pas seulement par les mineurs chinois. Comme nous l'avons déjà mentionné, sans les décisions de leurs gouvernements, des pays comme le Kazakhstan, l'Iran, la Malaisie et le Venezuela seraient des destinations plus attrayantes pour l'extraction de crypto. Peut-être qu'un pourcentage important de mineurs ont décidé de prendre le risque, même s'ils doivent cacher leurs opérations.
Finally, we can say that the “Bitcoin hashrate scale” is balancing. Eastern miners are migrating to Western, but not fully abandoning that region either.
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